• Les autres facteurs connus de fausse-couche

    Une fausse-couche peut être également provoquée par :
    - des infections bactériennes, virales ou parasitaires ;

    - la non-tolérance de certains vaccins ou médicaments, durant la grossesse ;

    - un rejet d’ordre immunologique [lien sur glossaire] , semblable à celui d’une greffe ;

    - la présence du diabète ou d’une hypertension artérielle ;

    - le fait de l’âge de la mère : plus de risques après 40 ans ;

    - des fibromes ou des polypes muqueux ;

    - une cavité utérine de petit volume ;

    - des synéchies.


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  • Qu'est ce qu'une Grossesse biochimique ?

    Une grossesse biochimique arrive quand un oeuf fertilisé ne s'implante pas dans la parois utérine. Cette oeuf ne poursuit pas son implantation et cesse son développement. Si un Test de grossesse est  fais au bon moment ce sera positif, cependant, quand un Test de grossesse est fais plusieurs jours plus tard ce sera négatif. une grossesse biochimique laisse le couple dans le dure affrontement de la joie d'une  grossesse qui debutait, quand en réalité cela se solde par  une fausse couche ultra précoce. Cependant, la majorité de femmes qui ont une grossesse biochimique n'on jamais su qu'elles etaient enceinte avant que la fausse couche se produise car elles pensent que c'est l'arrivée de leur cycle normal.

    signes et symptomes de la grossesse biochimique.

    En raison du fait que dans une grossesse biochimique, l'oeuf ne s'implante pas dans l'utérus, la plupart des femmes ne ressentent aucun des signes de grossesses (c'est à dire seins tendus, nausées, ou fatigue). il y a quelques rapports de femmes qui l'ont vecu dans le passé qui déclarent qu'elles se sont senti enceinte malgré leur grossesse biochimique. Il peut s'agir d'une  lègère gêne abdominal  aussi bien que le fait d'avoir des légers saignement (spotting) juste au moment où la plupart des femmes pensent avoir  leur cycle menstruel normal.

    Causes de la grossesse biochimique

    La réelle cause d'une grossesse biochimique n'est pas connu.la plupart du temps, ce serait en raison de chromosomes anormaux. l'anormalité de ces chromosomes peut être dû à plusieurs facteurs incluant la qualité du sperme et de l'oeuf, division cellulaire anormale et/ou   anormalités genetic provenant du père ou de la mère. On pense que 50 à 60 % des fausses couches du 1er trimestre sont dûes aux anormalités chromosomiques. Les autres causes pourraient être reliés à des infections (par exemple chlamidya,Cytomegalovirus, Genital herpes, Syphilis, Toxoplasmosis, and Rubella) anatomie uterine anormale ((par exemple. uterus unicornate,ou septate uterus), niveau hormonale anormale chez la mère (progesterone basse) maladie systémiques (maladie de la thyroide)

    traitement de la grossesse biochimique

    Il n'y a aucun traitement spécifique qui est exigé pour une grossesse chimique. L'épreuve consécutive la plus importante doit garantir que le niveau  hCG de la femme soit revenus aux niveaux non-détectables qu'avant grossesse biochimique. Il n'y a aucun impact sur les grossesses futures et la majorité de femmes tombent enceintes et accouchent sans difficulté.L'aspect le plus difficile d'une grossesse biochimique se tient dans l'excitation de penser être enceinte et ensuite la réalisation que  vous subissez aussitôt un échec, une fausse couche

    Signes et symptômes de fausse couche

    *GROSSESSE DANS LES  3 PREMIÈRES SEMAINES DE LA GESTATION :

    La majorité de femmes qui ont une Fausse couche precoce habituellement ne ressente aucun symptôme de perte.  Cependant, ce qui suit sont quelques signes et symptômes qui peuvent suggérer une fausse couche precoce.

    Signe et symptôme de la fausse couche 1 - un test positif de grossesse qui tourne au négatif quelques jours après.

    Signe et symptôme de la fausse couche 2 - cycle menstruel en retard

    Signe et symptôme de la fausse couche 3- une menstruation plus lourde ou plus durable d'A.

    *GROSSESSE APRÈS LA QUATRIÈME À CINQUIÈME SEMAINE DE LA GESTATION :

    Signe et symptôme de la fausse couche 1 - le saignement vaginal est le signe de fausse couche la plus commune. Le saignement vaginal peut être quelque chose de repèrable par leur couleur brun foncé au saignement rouge lumineux.  En outre relié aux femmes  des saignement vaginales passera habituellement par des caillots de sang aussi bien.   Se rappeler la statistique de fausse couche que 20-30% de femmes éprouvent repèrer un spotting pendant la grossesse, particulièrement pendant le premier trimestre et 50% de ces femmes font une fausse couche.

    Signe et symptôme de la fausse couche 2 - un niveau quantitatif de hCG (test de grossesse dessiné par la présence de sang) qui diminue.

    Signe et symptôme de la fausse couche 3 - douleur lombo-sacrée ou pelvienne 

    Signe et symptôme de la perte #4 - restriction pelvienne significative

    Signe et symptôme de la perte #5 - perte de signes et de symptômes de grossesse tels que les seins tendus, la nausée, et/ou la fatigue.

    Signe et symptôme de la perte #6 - incapable d'entendre ou voir le battement de coeur foetal.

    Signe et symptôme de la perte #7 - incapable de trouver le foetus dans l'utérus avec des ultrasons.  Si ceci se produit avec douleur pelvienne localisée à un côté ou à l'autre une grossesse ectopique doit être considérée.

     

    http://www.ourmiscarriage.com/chemical_pregnancy.html

    http://www.ourmiscarriage.com/sign_and_symptom_miscarriage.html

    traduction française : http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.ourmiscarriage.com/chemical_pregnancy.html&sa=X&oi=translate&resnum=3&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dchemical%2Bpregnancy%26hl%3Dfr%26sa%3DX

     

     

     

     

     

     

     


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  • chanson dedicacée aux petits enfants atteint d'un spina bifida et à leur parents qui les aiment d'un amour inconditionnel !

     

     


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  • Le SPINA BIFIDA
    L'anomalie du tube neural est caractérisée par la fermeture incomplète du tube neural embryonnaire, laquelle entraîne le développement incomplet de l'épine et de la moelle épinière. Certaines formes rattachées à cette anomalie, dont l'anencéphalie, causent la mortinaissance ou le décès très peu de temps après l'accouchement. Le spina-bifida est pour sa part associé à un taux de survie prolongé, malgré la présence de handicaps sévères, dont divers degrés de paralysie. L'anomalie du tube neural est le deuxième handicap congénital le plus courant, derrière l'anomalie cardiaque.

     
     
    bonjour à toutes,
     
    plusieurs d'entre nous se sentiront concernées par cette rubrique de l'actualité scientifique.
     
    En effet,  au delà de l'existence de la mutation du géne mthfr (géne causal), il existerai un autre géne le géne VANGL1 qui serait un géne causal.
     
    à verifier si VANGL1 ne serait pas un autre nom du géne MTHFR !
     
    bref, je vous mets la nouvelle :
     
    Médecine - Santé
    Identification d'un gène du Spina-Bifida (publication)
     
    http://www.bulletins-electroniques [...] /42275.htm
     
    Des chercheurs de l'Université McGill (Montréal) ont identifié un gène causal du spina-bifida, une anomalie débilitante du développement. Les résultats de l'étude sont publiés dans le numéro d'avril du New England Journal of Medicine.
     
    De concert avec des chercheurs de l'Institut G. Gaslini, situé à Gênes (Italie), le Pr Philippe Gros et son équipe se sont penchés sur le cas de patients présentant une anomalie du tube neural. L'équipe a identifié trois mutations du gène VANGL1, confirmant ainsi ce dernier en tant que facteur de risque de l'anomalie du tube neural chez l'humain.
    "Il s'agit du premier gène dont le rôle causal, dans cette malformation chez l'humain, a été démontré", a précisé le Pr Gros. Son équipe étudie l'anomalie du tube neural chez la souris depuis plus de dix ans et a été la première à cloner le gène pour la réalisation d'études en laboratoire, avant que n'aient lieu les récents essais cliniques chez l'humain.
     
    L'anomalie du tube neural est caractérisée par la fermeture incomplète du tube neural embryonnaire, laquelle entraîne le développement incomplet de l'épine et de la moelle épinière.
    Outre le risque génétique, une importante composante environnementale est liée au nombre de cas. Il a été démontré que la prise de suppléments d'acide folique au cours de la grossesse réduit de 50 à 70% le risque de donner naissance à un enfant atteint de cette malformation.

     
    *****************************************
     
    Des mutations du géne VANGL1  causeraient la perte de la fonction de la protéine impliquée dans la formation du tube neural lors de la gestation (l'acide folique)
    en résumé, c'est la deficience de fonctionnement de ce géne qui, comme la mutation du géne MTHFR, engendrerait un defaut d'assimilation de l'acide folique par notre corps,
    l'acide folique rentrant dans le processus complexe de l'embryogénèses,  si il y a deficience ou insuffisance, la fermeture du tube neural se fait incorrectement.
    c'est ce defaut de fermeture qui, provoquer par un retard d'embryongénèse ou imperfection entraine la malformation
     
    Ces résultats n'auront pas d'impact majeur sur la recherche et la mise au point d'un médicament.
     
    Toutefois, ils pourraient avoir un impact sur le diagnostic ou l'évaluation des risques. Un diagnostic précoce permettrait aux médecins de suivre la grossesse à risque de plus près.
     
    Outre le facteur génétique, une importante composante environnementale est liée au nombre de cas.

     
     
    C'est une avancée...
    le spina bifida est toutefois à 98% faute à pas de chance, faute à de nombreux facteurs environnementales

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  • Journal le Monde 31 mars 2007

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-890237,0.html

    Naître ou ne pas naître
    Article paru le  01.04.07
    Environ 6 000 interruptions médicales de grossesse (IMG) sont pratiquées chaque année en France. Les centres de diagnostic prénatal aident les parents à faire leur choix, au cas par cas. Enquête à Angers


    Les clichés d'échographies fœtales défilent sur grand écran. Des images en noir et blanc sur lesquelles apparaissent des profils déjà bien dessinés, des pieds minuscules, des organes que seul l'oeil médical peut repérer. Ce mercredi, l'équipe du Centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal (CPDP) de l'hôpital d'Angers examine quelque 25 dossiers de grossesses « à problèmes ». Comme chaque semaine, gynécologues obstétriciens, échographistes, généticiens, pédiatres et psychiatres sont réunis pour décider de la suite à donner lorsque des anomalies ont été découvertes sur un foetus.

    Les femmes concernées ne sont pas présentes. Mais elles savent que leur médecin expose ce soir-là leur dossier à l'équipe spécialisée. Les histoires se succèdent, souvent douloureuses. Des histoires de femmes, de couples qui attendent un enfant et qui, lors d'une échographie ou d'une amniocentèse, ont appris que leur bébé en devenir avait un risque d'anomalie chromosomique, de malformation ou de maladie génétique. « Lors de l'annonce il y a toujours un moment de sidération », témoigne le docteur Catherine Lépinard, échographiste. « C'est comme un coup de massue sur la tête, les couples se sentent retirés de la communauté des parents qui attendent un enfant », constate François Kotras, l'un des psychiatres chargés d' « accompagner » et « d'accueillir les paroles » de « colère » et (ou) de « culpabilité » des patientes désemparées.

    L'historique de chaque grossesse est détaillé. Plusieurs cas sont présentés pour la deuxième ou troisième fois. Avant de se prononcer, les médecins ont demandé des examens supplémentaires. « On prend davantage de risques que l'on ne force la main », insiste le généticien Olivier Ingster. Une femme âgée de 43 ans vient d'avoir les résultats de son amniocentèse : une trisomie 21 a été détectée. Elle souhaite une interruption médicale de grossesse (IMG). L'équipe donne son accord. Vient le cas d'une femme de 33 ans. Son premier bébé, atteint d'un « syndrome génétique », est décédé dix jours après la naissance. Le deuxième va bien. Elle est à nouveau enceinte, mais les examens médicaux ont décelé un fort risque de récidive du syndrome génétique. Elle ne veut pas revivre le calvaire de sa première grossesse et demande une IMG. Acceptée.

    Cette fois, c'est une femme de 31 ans. L'échographie fait apparaître une large fente labiale (un bec-de-lièvre). « Il n'y rien d'autre, précise le médecin, mais le couple est très choqué et veut une IMG. Je leur ai montré des photos de bébés que l'on avait opérés après leur naissance, j'ai l'impression que ça les a un peu rassurés. » L'équipe propose de faire un caryotype pour s'assurer qu'il n'y a pas d'autres anomalies. Une consultation du couple avec un psychologue est programmée.

    Cas suivant, celui d'une femme de 21 ans. C'est sa première grossesse. L'échographie fait apparaître une clarté nucale, signe d'un risque de trisomie 21. L'équipe recommande une amniocentèse et une échographie morphologique précoce. Vient ensuite la situation d'une femme de 35 ans, enceinte de six mois et demi. L'échographie et l'IRM (imagerie par résonance magnétique) indiquent une très grave malformation digestive. « Le couple demande l'IMG, ils sont sûrs d'eux », explique une gynécologue.

    Depuis la loi Veil de 1975, l'IMG est autorisée en France à tout moment de la grossesse à condition qu'il existe « une forte probabilité que l'enfant à naître soit atteint d'une affection d'une particulière gravité, reconnue comme incurable au moment du diagnostic ». Quarante-cinq centres, comme celui d'Angers, sont agréés pour définir si l'affection dont est atteint le foetus entre dans le cadre de la loi sur l'IMG. Si c'est le cas, ce sont les parents qui décident d'interrompre ou non la grossesse.

    Environ 6 000 interruptions médicales de grossesse sont pratiquées chaque année en France. En 2005, sur 820 dossiers étudiés à Angers, 102 ont abouti à une IMG : 53 pour des polymalformations (cardiaques, cérébrales, etc.), 27 pour des anomalies chromosomiques (trisomies), 13 pour des maladies génétiques. « La décision est individuelle et éclairée », insiste le professeur de génétique Dominique Bonneau.

    Parce qu'ils sont chaque jour confrontés aux demandes et aux angoisses des couples, parce qu'ils savent que le diagnostic prénatal permet aussi de sauver des bébés à la naissance, les médecins du centre d'Angers ont très mal vécu la prise de position de Didier Sicard, le président du Comité consultatif national d'éthique, qui considère que le diagnostic prénatal « flirte de plus en plus avec l'eugénisme » et « renvoie à une perspective terrifiante : celle de l'éradication » ( Le Monde daté 4-5 février).

    « Eugénisme », « éradication », les termes sont forts et difficiles à accepter pour les équipes médicales. « Sa réaction est désincarnée, très éloignée de notre pratique quotidienne », résume le psychiatre François Kotras. « C'est un débat d'arrière-garde », regrette Stéphane Le Bouedec, pédiatre. « Les centres pluridisciplinaires - et cette pluridisciplinarité est essentielle - permettent justement d'éviter les dérives, de faire du cas par cas. Une solution univoque pour une même malformation, cela n'existe pas, insiste le docteur Lépinard. S'ériger en moraliste, rester en gants blancs sur le pont sans tenir compte de ceux qui ont les mains dans le cambouis... c'est trop facile », lâche-t-elle.

    Le développement des marqueurs sériques (test sanguin en début de grossesse permettant d'évaluer le risque de trisomie 21), de l'amniocentèse et de l'échographie foetale a permis depuis vingt-cinq ans d'améliorer les diagnostics prénataux. La grande majorité des femmes enceintes veulent profiter de ces progrès pour savoir si leur bébé ira bien. « A l'issue d'une échographie, la question rituelle est «alors docteur, il n'est pas trisomique ?» », témoigne le docteur Lépinard.

    « En cas de trisomie 21, la majorité des couples demandent une IMG », constate le docteur Florence Biquard, gynécologue obstétricien. Et l'équipe accède à la demande. « Je ne me vois pas imposer aux autres ce que la société a du mal à accepter, fait valoir le docteur Ingster. Avant de parler de dérive, il faut déjà balayer devant sa porte et s'occuper correctement des personnes handicapées. L'éthique, l'éthique... il faut avoir les couples en face de soi pour comprendre. Ma manière à moi de faire de l'éthique c'est de soutenir les gens au quotidien », insiste-t-il.

    Dire que l'on va dépister de plus en plus de choses relève pour l'heure du fantasme », souligne le généticien Dominique Bonneau. « Les couples sont hyperraisonnables dans leur demande et je n'ai jamais vu une femme heureuse de venir faire une amniocentèse », complète son homologue le docteur Ingster.

    Les médecins en ont conscience : leur discours a « une influence majeure » sur les patientes. Mais ils insistent sur le libre choix laissé aux couples. Certaines femmes ne veulent pas, par exemple, recourir à l'amniocentèse. Parce qu'elles ont dû suivre le long parcours de l'Assistance médicale à la procréation pour parvenir à être enceintes, ou parce qu'elles vivent leur première grossesse à 40 ans et savent qu'elles n'auront pas d'autre enfant, elles refusent cet examen qui, dans moins de 1 % des cas, peut engendrer une fausse couche. D'autres encore, par convictions religieuses ou parce qu'elles gardent l'espoir fou que l'échographiste ait pu se tromper, repoussent toute idée d'interruption de grossesse même si leur foetus est atteint d'une pathologie ou d'une malformation létale. « Ces couples veulent aller jusqu'a u bout, sans altérer le cours des choses, accompagner, après la naissance, leur bébé jusqu'à son décès et se dire qu'eux et les médecins ont fait tout ce qu'ils ont pu », raconte le docteur Le Bouedec.

    Rien n'est obligatoire. « A chaque fois, la problématique est individuelle, c'est une décision éclairée de parents, en leur âme et conscience », explique le docteur Kotras.

    Certains dossiers sont plus difficiles que d'autres. Les malformations physiques (anomalie de membre ou fente labiale) heurtent profondément les couples parce qu' « elles touchent à l'image qu'ils se font du bébé ». Il faut alors convaincre les parents qu'un bec-de-lièvre cela s'opère, qu'une main en moins cela se surmonte dans la vie. Psychiatres et pédiatres sont là pour soutenir les futurs parents, les aider à se projeter dans l'avenir.

    Le dépistage prénatal - même dans les cas où, in fine, les examens ne détectent pas d'affection grave - suscite « beaucoup d'angoisse et d'anxiété », admettent les praticiens. « Cette période peut être, psychologiquement, une bombe à retardement, reconnaît le psychiatre François Kotras. Plus tard, si leur enfant rencontre des difficultés d'apprentissage ou des problèmes d'hyperactivité, certaines femmes se remémorent les moments difficiles de leur grossesse et ne peuvent s'empêcher de faire un lien. »

    Mais le diagnostic prénatal a aussi permis « d'améliorer la santé de milliers d'enfants », insiste le professeur de génétique Dominique Bonneau. Lorsqu'une malformation cardiaque est détectée, l'accouchement est programmé dans un hôpital spécialisé à Paris. C'est ce qu'a vécu Valérie Antier. Cette jeune femme se souvient parfaitement du jour ou l'échographiste lui a annoncé que son futur bébé devrait subir une opération à coeur ouvert après sa naissance. « Quand on a vécu ça, on ne trouve pas que l'on fait trop de diagnostic prénatal. Cela nous a permis de nous préparer, et surtout d'éviter à notre bébé une perte de chance. » Aujourd'hui Stanislas a 5 ans et il va bien.

    Sandrine Blanchard

     


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  • la loi n°2007-293 du 5 mars 2007 article 30 apporte une modification des règles applicables au congé maternité. La période prrénatale et période postnatale peuvent faire l'objet d'un assouplissement dans la durée.

    Ces dispositions, codifiées au nouvel article L 331-4-1 du code de la sécurité sociale, sont applicables aux fonctionnaires territoriaux

    http://www.net-iris.fr/veille-juridique/actualite/16651/possibilite-de-decaler-la-periode-de-conge-maternite.php


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  • video sur le don d'ovocyte en france, minutes 6.00 :

    cliquez sur le lien, puis en bas de la page sur OK, puis attendez 15 secondes et appuyez en bas sur download :

    http://www.filesupload.com/showlink.php?files=journaldelasante_DONOVOCYTE.asx&dir=&user=informationimg


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  • DONNEUSES, RECEVEUSES de don d'ovocytes, Le long parcours vers le bonheur d'être MAMAN

    Le don d'ovocytes est un don de cellules reproductrices féminines d'une femme à une autre femme.

    http://www.aidon1.canalblog.com/

    Forum les maternelles, ce que peut apporter votre don : http://forums.france5.fr/lesmaternelles/Fertiliteetsterilite/DonsdovocytesMeresporteuses/cherche-donneuse-desesperement-sujet_114_1.htm

    Forum doctissimo, Pourquoi donner, comment donner ?

    http://forum.doctissimo.fr/grossesse-bebe/fertilite-infertilite/ovocytes-informations-sujet_149099_1.htm


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